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Mars, l’aventure ultime
EN SALLES Les rêveurs de Mars, Richard Dindo. A la question «Aimeriez-vous aller sur Mars?», étudiants, chercheurs de la Nasa, écrivains de science-fiction, membres de la Mars Society répondent de manière univoque : «Dans l’instant!».
«Les Blancs sont impatients. Ils sont fatigués de vivre ici. Ils veulent donc aller sur Mars», prophétise Sonny Spruce, un indien d’Amérique. Richard Dindo, documentariste zurichois recueille ce témoignage et axe son film sur l’acharnement des hommes pour la cause… martienne.
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«Plus de caresses, moins de CRS» EN SALLES Les Travailleu(r)ses du sexe, Jean-Michel Carré. Le réalisateur dresse le portrait de ceux qui ont décidé de vendre leur corps. Un choix assumé et revendiqué, face à des lois de plus en plus répressives, notamment celle dite de «sécurité intérieure» qui réprime le racolage passif. Retrouvez les séances ici. Ici, il est question de striptease, de sex-shops, de prostitué(e)s, de travestis, de maîtresses SM, de films porno… Et pourtant, rien de graveleux dans la manière avec laquelle la question du sexe est abordée.
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Dans les entrailles du nucléaire EN SALLES RAS Nucléaire, Rien à signaler, Alain de Halleux. Un documentaire engagé qui va, sans tabou, à la rencontre des travailleurs du nucléaire. Ne vous attendez pas à un énième documentaire sur les risques du nucléaire en cas de dysfonctionnement d’une centrale ou d’exposition aux radiations sur les anciens terrains radioactifs. Cette fois, la caméra nous emmène à l’intérieur même de centrales, et donne la parole aux travailleurs du nucléaire. Impressionnant, et inquiétant.
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Moore veut récupérer son argent EN SALLES Capitalism :a love story, Michael Moore. Pour cet opus dont le tournage avait commencé avant la crise économique, le pamphlétaire américain s’en prend aux grands manitous du libéralisme.
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Michael Moore à Wall Street vient réclamer l’argent des contribuables américains. ©DR
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Les papys font de la résistance EN SALLES Walter, retour en résistance, Gilles Perret. Le portrait d’un résistant octogénaire dont la parole est toujours aussi révoltée. Walter Bassan a 80 ans. C’est un vieil homme fringant, qui se promène en montagne, y organise des pique-niques militants. En forme pour son âge, surtout en forme pour son passé : il a fait onze mois de camp de concentration à Dachau. Walter est là pour témoigner de son combat, et transmettre sa flamme. Il le fait dans les écoles, les lycées, lors d’un voyage scolaire dans son ancien camp. Le film de Gilles Perret sert aussi à cela, à lutter «pour une société meilleure», comme dit Walter. Au nom de son combat passé, il nous appelle à entrer en résistance.
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